que dire? il y a tellement,t à dire...
Déja je suis complètement en adéquation avec tout ce que dit Valer dans son avis.
J'ai écouté cet album à 5h du mat et je suis passé par tellement d'émotions! Je crois
que ça faisait trop longtemps que j'attendais un album si fort!!
Il m'est difficile de dire quelle partie de l'album je préfère, entre Home Again,
Promises, Lucid Dreams...
A écouter sans modération
MERCI POUR LA THÉRAPIE
Je ne connaissais pas cet artiste, j'ai écouté suite à la chronique du site. J'ai vraiment apprécié, parfois un rythme un peu rapide pour moi... L'ensemble manque d'homogénéité, mais cette variété peut rendre l'album intéressant à écouter.
Pour beaucoup impossible de le manquer tant il a fait parler, pour les autres voici le dernier album de notre cher beatmaker français Degiheugi.
Compositeur inspiré et talentueux, qui ne nous laisse jamais très longtemps sans une nouvelle sortie, amoureux du sampling et de beats tantôt joyeux, tantôt rêveurs, tantôt poétiques...
Cet album n'est à manquer sous aucun prétexte, c'est une pépite, solaire, où il fait bon vivre.
Dès les premières secondes d'écoute je me suis dit qu'on était bien chez Degiheugi et la fin de l'intro m'a donné un petit rire (évidemment je ne vous dirai pas pourquoi, surprise!).
Degi avait le souhait de faire un album chaleureux, joyeux avec de nombreuses influences étrangères notamment Brésiliennes pour le remix du titre "Nuday" en collaboration une nouvelle fois avec le rappeur Andrre, morceau qui vous donnera très certainement envie d'enchaîner quelques pas de danse 😉
Des collaborations de qualité, avec de nombreux artistes que vous aurez certainement déjà entendu dans les précédents albums (ASM, Miscellaneous, Hugo Kant, Zackarose) envers qui Degiheugi a, lors de la promotion de son album, rendu hommage au travers de portraits relatant leurs histoires communes.
Je ne peux que vous conseiller l'écoute de cet excellent album.
PetiteApo
Après 17 ans de hiatus, S/E/L/F est de retour!
Nous avons officialisé notre graphie avec les slashes / et créé un nouveau site web SelfTheBand.com avec toutes les actus du groupe.
Notre EP [Thump] chroniqué ici est désormais disponible en streaming sur toutes les bonnes plateformes en édition 20ème anniversaire avec 4 pochettes re-designées. D'autres titres de notre ancien catalogue vont suivre. Nous travaillons avec Remky à de nouveaux morceaux.
Stay tuned!
Vii-Pii (co-founder de S/E/L/F)
Une très chouette compil aux accents jazzy et world, sur laquelle se côtoient des morceaux presque ambient et des beats fleurant avec la deep house.
Mention spéciale à Thank You Ray par Pablo Mat, coup de coeur de cette VA qui s'insère bien dans la discographie qualitative de Kraak.
Qu'elle est belle la vie. Impromptue, tantôt calme, tantôt plus. Un fleuve qui défile, déroule, s'écoule. Des instants viennent onduler la surface de l'eau, la perturber dans de multiples soubresauts. La ponctuer telle une averse de printemps le ferait. Tel un orage d'été qui déborderait. Telle une avalanche de feuille d'automne qui troublerait. Telle une gelée d'hiver qui piégerait.
Qu'elle est chienne la vie. On se croit invincible un moment et on se retrouve ébranlé, décharné, la bouche emplie d'amertume. Ou le coeur gros. Ou la tête pleine à exploser. Sans trop comprendre pourquoi. Sans trop comprendre comment. Sans trop savoir si cet état passera. Si l'on en a l'envie. Si l'on en a la volonté.
Qu'il est beau cet album. Reflet de cette vie. Reflets de ces moments. De tous les moments, sans exception, sans artifice. Il y a une intense émotion qui traverse ces 12 titres, qui vous prendront aux tripes, au coeur et à la tête. On est là devant un des albums marquants de 2019, qui, même si l'année n'est pas finie, se place déjà dans mon top 3. On vibre, on résonne, on sourit, on s'assombrit, bref, en un mot comme en plusieurs, on vit au travers et avec cet album. Une bande son de la vie. Une bande son d'une vie.
L'art est quelque chose qui illustre la vie, qui est là pour la saisir ou l'expliquer, la rendre supportable ou l'honorer, la magnifier ou la coucher nue sur la papier.. Avec [u]M[/u], on est donc bien face à une oeuvre d'art. Merci [b]Clément Mirguet[/b] pour cela.
"Troubles From the Next World" is an unpindownable album: familiar enough to sound comforting but new enough to pique your interest and make you listen for the way forms have been taken and bent. It feels like a decade's worth of work has been synthesised into a single album. Easing us in gently with "Séance in Gibraltar", the stunning "Celephasis", and then, with "Baked Alaska", we begin to get a sense of what's to come: Pelegrim's breath-taking range, wit, humour and soul.
Pelegrim is not one for repeating himself, and each track brings something a little bit different to the table, each track crammed with appealing sonic combinations and elements that instil tracks with a sense of zaniness: baked old-school beats and flows, jaunty piano, stoner jams (the guitar playing on "The Harahrahoohry" gives me a chub-on every time), brightly snarling chord changes, non-sequitur rock sleaze, cut-and-paste hip-hop beats, ambient flows, twinkling head-nodding toe-tappers and major-key bummer jams, to the surprisingly gorgeous, heavily accented voice of Annie Driedflower on "In Order".
I can't actually believe this album is the work of a single artist, but singular Pelegrim is not. His style is wild and eclectic and "Troubles From the Next World" is an album of countless pleasures -- one that manages to jump between different points without ever sounding jumpy for the sake of it. It's delightfully eclectic rather than irritatingly restless, delving into uncharted territory without any winking self-awareness.
It is an album that either feels like it is spinning out of control or is a work of genius reinvention (the more the album is played on a loop, the more the idea of it being a work of genius turns into a genuine realisation.)Assimilate the tracks individually, and each one shines through like a hidden gem in an eclectic playlist.
Speaking of which, I started to put together a list of standout tracks... but there isn't one. The album really is that good. Never committing to one predictable genre or sound, this is an album of bold, aggressive regeneration that never falls short.
The genre-liberating atmosphere of "Troubles From the Next World" is hugely intoxicating. It is one of my albums of 2019 and (if you haven't guessed already), comes highly recommended.
Wodwo
Publié, avec l'aimable autorisation de Wodwo
Published, with the kind permission of Wodwo
https://soundcloud.com/user-364196783-552705040
4/5
Un tel éclectisme présent dans cette rencontre de deux univers pourtant si différents devrait ravir tout amoureux de musique avec des titres somptueusement cotonneux comme Yurei & Baku, Oh Edwaaaard et Lonely Bones qui viennent parfaitement équilibrer la balance de cet album mémorable.
4/5
Un tel éclectisme présent dans cette rencontre de deux univers pourtant si différents devrait ravir tout amoureux de musique avec des titres somptueusement cotonneux comme [i]Yurei & Baku[/i], [i]Oh Edwaaaard[/i] et [i]Lonely Bones[/i] qui viennent parfaitement équilibrer la balance de cet album mémorable.
DLoaw reste une valeur sûre en terme de découvertes, avec ce label j'ai découvert et acheté l'excellentissime album The Ocean Between Us de Beatween ou encore How Are You de Mounika., bref de quoi vous faire savourer les tympans pendant des lustres.
C'est 2 mois avant sa sortie que j'ai été intéressé par le projet de Mani Deïz (un beatmaker français assez célèbre mais alors inconnu au bataillon dans mon registre à l'époque) en écoutant le titre White Tempest. Dans ce titre en ressortait un certain lyrisme, du mysticisme et pas mal de mélancolie avec ses accords de violons, et ses vocalismes de voix de jeune femme.
L'optimisme était au rendez vous jusqu'à ce que j'achète l'album et l'écoute. J'ai été un tout petit peu déçu car l'album semble un peu s'essouffler en cours de route mais n'en demeure pas pour autant plaisant à l'écoute. Infinity -1 reste un album très correct malgré une continuité qui s'avère un peu fragile mais qui permet tout de même de transporter son auditeur avec des titres très aboutis comme Fallin', White Tempest, Burning Clouds et Jupiter's Song.
Si vous êtes amateur de trip hop mélancolique, d'accords de violons qui se mêlent à des vocalismes et de quelques scratchs de Dj Nixon alors cet album est fait pour vous !
C'est frais, c'est joyeux, mélancolique. Ça s'écoute tout seul !
Un beatmaker qui crée des ambiances pleines de passions tranquilles, à grands coups de chants et autres paroles samplés.
Indéniablement une de mes sorties récentes préférées ! La production est plus proche de Gramatik que de Portishead, comme souvent ces dernières années, mais Mounika sort clairement du lot ! J'attends la suite :)
NYM nous livre ici une toile de fond sonore dont il a le secret. Petit bémol tout de même, cet album très consensuel pour les amateurs de trip hop manque d'un petit quelque chose qui vient rehausser le tout. Je pense par exemple à "Lesser known good" issu de l'album WARM BLOODED LIZARD ou "Wavey Blue" de l'album CONVEX qui offrent des mises en scène musicale plus étoffées et intenses. Il n'en reste pas moins que LILAC CHASER reste un bel album, à écouter sans modération !
J'ai laissé 3.5 étoiles. J'apprécie cet album, mais je garde vraiment en référence le travail déjà ancien de Days to come.
Même si ce disque dans l'ensemble est bon, certains titres très bons, on en voudrait encore plus.
Tout à fait d'accord avec la rédac', c'est un bon album mais pas vibrant. Je suis pourtant un grand fan de Bonobo!
A la première écoute, j'avoue avoir fait couler une fine larme de déception sur ma joue.
Mais finalement cet album est juste incomparable à ce qu'il a pu faire auparavant comme avec 'Black Sands' ou 'Dial M for Monkey', simplement différent! Mais pas mauvais!
Cet album est vraiment sublime : jazzy trip-hop.
J'ai d'ailleurs créé une playlist dans cette veine là dans laquelle je vais intégrer un morceau.
Voici le lien : https://open.spotify.com/user/gillian_delvigne/playlist/05HSLUyeJ2yhhScFNp1u8o
Pour répondre à The386mmx sur une éventuelle sortie matérielle des albums de The Grus, les membres du groupe cherchent actuellement un partenaire label / distributeur qui leur permettrait de sortir un double CD / LP de Nest + Harvest en 2017. Rien n'est encore fait, mais ils ne désespèrent pas. Pour l'heure, seule une cassette audio est sortie pour Harvest (le LP de Nest est peut être encore disponible sur Follyphone Records et une version CD Japon a vu le jour... à voir sur le site thegrus.com)
Dans tous les cas, Sergei et Shura sont heureux des retours très positifs sur leurs albums, ce qui les encourage à poursuivre leur quête musicale :)
Than.eye est une nouvelle peau que se sont fabriqués les survivants du groupe athénien de rock indépendant Rosebleed. La transition est faite de synth rock, d'électro et de trip-hop rafraîchissant, en utilisant des instruments traditionnels et des synthés analogiques. Puis il y'a la voix de Danai qui colle à cette mixture rythmée et magnétique. La séance d'hypnose peut commencer avec Showie, plaisir auditif qui accompagne les divagations de l'esprit. L'odyssée se fait plus palpitante avec Little Things où le son indie apporte une touche vivifiante, avant les instants électro acidifiants de Always Compare. Mais c'est avec King Snake que les invocations tribales commencent avec des incantations captivantes enveloppées de psyché mystique. The Great Lighter continue sur la même lancée dans un environnement électro alternatif et l'opus se termine en crescendo sur Father et ses couleurs méditerranéennes. XI est un EP assez diversifié qui exploite les racines alternatives et psychédéliques du groupe, rendant la conversion vers le trip-hop assez évidente.
Une belle fusion Synth Trip Rock comme définie par le groupe. Un son riche, parfois tribal et hypnotique qui rend l'écoute exaltante.
Youtube
A propos de Lamb - What Sound
L'album est en écoute sur la chaîne officielle du groupe.
https://www.youtube.com/watch?v=JH-yYLaT6Ps&list=OLAK5uy_mdkY0axVBcvjo3fMtXk3uGqJXUPhnZXLs
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